Celle qui n'était pas assez noire
Cette histoire est celle d'hommes et de femmes qui combattent l'inhumanité. Celle dont on hérite, celle que l'on évite, celle que l'on veut éradiquer et celle qui sera toujours présente, génération après génération, nourrie par la cupidité, l'imbécillité et l'égoïsme. L'héroïne de ce roman va voyager dans les Caraïbes pour tuer son père qui est le symbole du colonialisme. Un symbole qui a violé un être vivant pour son profit, le repoussant aux marges de l'humanité pour mieux l'exploiter. L'héroïne s'appelle Angèle, fille d'une française enlevée et abusée par trois flibustiers dont l'un est son père biologique. Qu'importe le véritable violeur, Angèle voudra tuer les trois criminels qui pourraient s'appeler France, Angleterre et Espagne dans une autre vision. Trois visages, trois obsessions, et pour Angèle, la ténacité et la fierté de ne jamais plier et de se sentir libre. Libre face à ce monstre caché, ce colonialisme bien pensant en surface mais dont le but est d'augmenter les richesses de certains au détriment de la liberté d'autres humains.
Genre : | Littérature | Langue : | français |
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Sous-genre : | Roman d'aventures | Sortie : | 10 mai 2019 |
Biographie
Michel JUSTE
Pharmacien clinicien, praticien hospitalier retraité, passionné de musique et de philosophie. Rédacteur en chef d'une revue pharmaceutique et diplômé d'éthique.